Territoires & Collectivités
De la commune à la région, en passant par la métropole ou le département, vous souhaitez faire évoluer votre gestion des eaux pour vous engager dans une transition hydrique ?
Notre équipe vous accompagne dans la réduction de votre empreinte eau à travers des solutions adaptées pour minimiser la consommation d’eau, la recycler et la réutiliser pour de nouveaux usages.
Vos problématiques
Le défi de sobriété hydrique
Vous souhaitez réduire ou optimiser les prélèvements en eau de votre territoire pour protéger ou sécuriser les ressources en eau, respecter les objectifs nationaux du Plan Eau et assurer un rôle d'exemplarité sur votre territoire.
Un déficit de la ressource
La ressource en eau de votre territoire ne permet- ou ne permettra- plus de poursuivre ou d'innover dans les activités économiques et sociales dans la durée ; les restrictions liées aux arrêtés sécheresse limitent les usages de l'eau sur le territoire.
Des masses d’eau dégradées
Les rejets des stations de traitement impactent le milieu récepteur, les nappes se salinisent (intrusion saline, etc.) et deviennent impropres à l'usage.
Réduire, recycler, réutiliser :
et si créer des territoires résilients
était un jeu d'enfant ?
Explorer
Vous avez des idées pour réduire la pression en eau sur votre territoire ?
Vous souhaitez connaitre le potentiel de recyclage et
de réutilisation de l'eau de vos infrastructures ?
Vous voulez rendre votre territoire plus résilient ?
Notre équipe élabore avec vous les scénarios à haut potentiel en se basant sur les usages substituables et les sources d'eaux non-conventionnelles (eaux de stations d'épuration, eaux grises, eaux de toitures ou de piscines…) à travers un panel de solutions éprouvées.
Vous vous interrogez sur le potentiel de votre territoire sans nécessairement savoir par où et quoi commencer ?
- Votre territoire est-il propice à la mise en place d'un projet de réduction de l'empreinte eau ?
- Réduire de 10 ou 20 % sa consommation en eau est-il possible et à quelle échéance ?
- Réutiliser les eaux oui ! Mais quels sont les volumes substituables envisagés ?
Deux formules s’offrent à vous :
L'audit :
L’étude approfondie :
Vous avez sélectionné un ou plusieurs site(s) prometteur(s) : une station de traitement et son environnement, une piscine, une ZAC...
- Quelles sont les options viables de réduction ou de réutilisation d'eaux ?
- Comment transformer une idée en un projet optimal, compris et partagé par tous ?
Deux formules s’offrent à vous :
L’audit :
L’étude approfondie :
Le scénario de votre projet est défini, ses différentes options vous ont été présentées.
- Est-il viable sur le plan économique, réglementaire, juridique et social ?
- Mérite-t-il d'être lancé dans sa phase opérationnelle ?
À l’issue de notre étude, vous bénéficiez d’une vue détaillée de votre scénario sur les aspects techniques, règlementaires et environnementaux avec une balance bénéfices/risques claire et connue par tous. Vous aurez tous les éléments pour prendre votre décision pour les phases d'exécution et d'autorisation.
Votre projet est innovant mais ne relève pas d’un cadre réglementaire clair, vous êtes pionnier !
- Que faut-il vérifier avant de se lancer à grande échelle ?
- Comment construire une preuve de concept solide avant de passer au déploiement à grande échelle ?
Explorer
Vous avez des idées pour réduire la pression en eau sur votre territoire ?
Vous souhaitez connaitre le potentiel de recyclage et
de réutilisation de l'eau de vos infrastructures ?
Vous voulez rendre votre territoire plus résilient ?
Notre équipe élabore avec vous les scénarios à haut potentiel en se basant sur les usages substituables et les sources d'eaux non-conventionnelles (eaux de stations d'épuration, eaux grises, eaux de toitures ou de piscines…) à travers un panel de solutions éprouvées.
Vous vous interrogez sur le potentiel de votre territoire sans nécessairement savoir par où et quoi commencer ?
- Votre territoire est-il propice à la mise en place d'un projet de réduction de l'empreinte eau ?
- Réduire de 10 ou 20 % sa consommation en eau est-il possible et à quelle échéance ?
- Réutiliser les eaux oui ! Mais quels sont les volumes substituables envisagés ?
Deux formules s’offrent à vous :
L'audit :
L’étude approfondie :
Vous avez sélectionné un ou plusieurs site(s) prometteur(s) : une station de traitement et son environnement, une piscine, une ZAC...
- Quelles sont les options viables de réduction ou de réutilisation d'eaux ?
- Comment transformer une idée en un projet optimal, compris et partagé par tous ?
Deux formules s’offrent à vous :
L’audit :
L’étude approfondie :
Le scénario de votre projet est défini, ses différentes options vous ont été présentées.
- Est-il viable sur le plan économique, réglementaire, juridique et social ?
- Mérite-t-il d'être lancé dans sa phase opérationnelle ?
À l’issue de notre étude, vous bénéficiez d’une vue détaillée de votre scénario sur les aspects techniques, règlementaires et environnementaux avec une balance bénéfices/risques claire et connue par tous. Vous aurez tous les éléments pour prendre votre décision pour les phases d'exécution et d'autorisation.
Votre projet est innovant mais ne relève pas d’un cadre réglementaire clair, vous êtes pionnier !
- Que faut-il vérifier avant de se lancer à grande échelle ?
- Comment construire une preuve de concept solide avant de passer au déploiement à grande échelle ?
Nos autres solutions pour votre projet
Chiffres clés
34 934
22 700
5 à 8 Md
Nos clients témoignent
Les projets du secteur
Programme Jourdain (Vendée) : Réutilisation des eaux pour la production indirecte d’eau potable
La Vendée présente de forts déficits en eau potable en période estivale, la réutilisation des eaux apparait comme une solution nécessaire. Ecofilae réalise l’assistance à maîtrise d’ouvrage (AMO) du projet JOURDAIN auprès de Vendée Eau en collaboration avec Rives et Eaux et le cabinet Merlin.
La Vendée présente de forts déficits en eau potable en période estivale, la réutilisation des eaux apparait comme une solution nécessaire. Ecofilae réalise l’assistance à maîtrise d’ouvrage (AMO) du projet JOURDAIN auprès de Vendée Eau en collaboration avec Rives et Eaux et le cabinet Merlin.
Communauté d’agglomération de Nevers : Réutilisation des eaux multi-sources (piscine)
Cette étude évalue les gisements d’eaux non conventionnelles disponibles sur le territoire de Nevers Agglomération pour dégager des opportunités de valorisation de ces eaux au travers d’une approche multi-sources (STEU collectives urbaines, eaux de piscines, eaux de toitures, eaux d’exhaures et eaux grises), multi-acteurs et multi-usages dans le but de participer à la sécurisation de la ressource en eau.
Crédits photos : Aquabalt / Thierry Bonnat / Ville de Nevers
Cette étude évalue les gisements d’eaux non conventionnelles disponibles sur le territoire de Nevers Agglomération pour dégager des opportunités de valorisation de ces eaux au travers d’une approche multi-sources (STEU collectives urbaines, eaux de piscines, eaux de toitures, eaux d’exhaures et eaux grises), multi-acteurs et multi-usages dans le but de participer à la sécurisation de la ressource en eau.
Crédits photos : Aquabalt / Thierry Bonnat / Ville de Nevers
Les ressources du secteur
Questions fréquemment posées
La mise en place d’un projet de REUT nécessite plusieurs étapes pour assurer sa réussite.La première étape est de réaliser un état des lieux du territoire pour qualifier et quantifier :
- les différents gisements en Eau Non-Conventionnelle (ENC) disponibles ;
- les usages de l’eau réalisés au sein du territoire ;
- les enjeux et les pressions sur les masses d’eau du secteur.
Cette analyse préliminaire est très importante, car elle permet de réaliser un diagnostic complet du territoire et du contexte local et de ne pas passer à côté d’un potentiel usager, d’une potentielle source d’ENC, etc.
La seconde étape consiste à étudier les opportunités du territoire et/ou du site, afin de repérer les couples « gisements-usages » les plus pertinents, mais aussi de fédérer la communauté d’acteurs concernée autour d’un projet commun.
La troisième étape consiste à évaluer la faisabilité du projet selon différents prismes, qu’ils soient d’ordres économiques, techniques et/ou juridiques.
Une fois l’ensemble de ces éléments définis, il est alors possible de monter un Dossier de Demande d’Autorisation (DDA) afin que le projet soit instruit par les services instructeurs et autorisés par le préfet.
En résumé, un projet REUT se déroule globalement en 4 étapes :
- Étude de votre territoire
- Étude d’opportunités de votre site
- Étude de faisabilité
- Dossier de Demande d’Autorisation.
Mettre en place un projet REUT peut prendre un certain temps, en effet. Il y a tout d’abord le temps lié à la réalisation des études d’opportunité et de faisabilité qui peuvent se dérouler sur 5 à 8 mois en fonction de la superficie du territoire étudié, des types de gisements en ENC considérés, de la réactivité des acteurs impliqués, etc. Il y a ensuite le temps nécessaire à l’instruction du DDA, qui se produit sur une durée incompressible de 6 mois. À tout cela s’ajoute le temps de réaliser les travaux d’aménagements.
Ainsi, pour ne pas faire face à des pénuries d’eau, mieux vaut préparer l’avenir !
Différentes aides financières sont proposées par les Agence de l’eau, les régions et/ou les départements. Les conditions d’attribution, les montants des aides et les démarches à réaliser sont propres à chaque institution.
En France, la réutilisation des eaux usées traitées et des eaux non-conventionnelles (ENC) est encadrée par une réglementation en récente évolution. Celle-ci vise à garantir la maitrise des risques sanitaires et environnementaux.
Selon les usages, la règlementation française définit 4 classes de qualité d’eau, allant de A à D. La classe de qualité A est la plus stricte en termes de pathogènes (bactéries, virus, etc.) : c’est la classe de qualité requise pour l’irrigation de cultures maraîchères ou d’espaces verts ouverts au public par exemple. La classe de qualité D est en revanche uniquement autorisée pour l’irrigation de cultures biomasse-énergie.
Les niveaux de qualité des eaux traitées peuvent être modulés sans augmenter les risques sanitaires et environnementaux associés grâce à la mise en place de mesures préventives, telles que l’adaptation des méthodes d’irrigation ou le contrôle de l’accès aux zones irriguées par exemple. Les projets de REUT font l’objet d’une instruction par les services dédiés de l’État et sont soumis à l’autorisation du préfet avant d’être mis en œuvre.
Les projets de REUT nécessitent la mise en place de solutions de traitement complémentaire des eaux, d’adaptation de pratiques, de suivis analytiques de qualité des eaux et de mesures préventives adaptées (cf. règlementation REUT). Parmi les mesures préventives de limitation des risques sanitaires, nous pouvons citer comme exemples la mise en place d’irrigation localisée (favorisée par rapport à l’aspersion) ou l’adaptation des horaires d’irrigation sur les espaces verts ouverts au public, etc.
L’ensemble de ces mesures permettent de contrôler la qualité des ENC réutilisées et d’encadrer les pratiques, et d’assurer ainsi la maitrise des risques sanitaires et environnementaux.
En résumé, les risques d’un projet REUT sont très faibles à partir du moment où la réglementation est respectée et que les pratiques sont adaptées. Il faut savoir qu’une ENC de classe de qualité A ou B possède une qualité d’eau sanitaire équivalente à celle d’une eau de baignade classée comme « excellente ».
Les problématiques sont très différentes en zone littorale ou zone continentale. En effet, réutiliser des EUT destinées à être rejetées dans la mer est un gain d’eau douce direct pour le territoire. En revanche, les EUT rejetées dans les cours d’eau (en zone continentale donc) permettent bien souvent de soutenir les débits d’étiage de ces derniers en été, et de participer ainsi au maintien de la vie aquatique. Pour ces raisons, l’impact d’un projet REUT en zone continentale doit être étudié au cas par cas. Les études HMUC (Hydrologie-Milieux-Usages-Climat) ou les études de volumes prélevables permettent de quantifier avec précision l’impact d’un éventuel projet REUT et son empreinte eau.
La gouvernance d'un projet de réutilisation des eaux usées traitées implique la mise en place d'un cadre de prise de décision clair et transparent pour garantir la sécurité, la durabilité et la rentabilité du projet. Plusieurs modèles de gouvernance sont ainsi possibles entre les producteurs d’ENC et les usagers : ces schémas organisationnels sont « ouverts ». La seule obligation est de définir clairement les responsabilités et le rôle de chacun des acteurs du projet pour chacun des maillons et infrastructures des filières de réutilisation des ENC (traitement, transport, stockage, distribution, etc.). L’ensemble de ces éléments sont repris et actés dans le cadre d’un projet de convention qui sera joint au dossier de demande d’autorisation du projet REUT.
Le prix de l’eau dépend de son coût propre (traitement, stockage, distribution) et du montage financier retenu (répartition des coûts entre les acteurs, part subventionnée des investissements, etc.). Ce prix est généralement supérieur au prix de l’eau conventionnelle existante (eau de rivière, eau de nappe), mais peut être inférieur à celui de l’eau potable. Le coût potentiellement plus élevé de l’eau traitée reste acceptable tant que celui-ci demeure inférieur aux pertes causées par le manque d’eau : c’est souvent le cas pour les produits ou les services à forte valeur ajoutée.
En tout état de cause, le prix de l’ENC doit être validé et accepté par l’ensemble des acteurs du projet REUT, et notamment par les utilisateurs finaux, pour que le projet soit réalisable et dans l’intérêt de tous. Les retours d’expériences montrent que la rentabilité des projets est plus facilement atteinte lorsque les usages sont variés et les volumes importants.
D’une façon générale, la limitation des coûts et du prix de l’eau est également favorisée par :
- un niveau de traitement et de qualité d’ENC adapté à l'usage ;
- une proximité entre la source d’ENC et l’usage ;
- l’existence préalable d’infrastructures de transport, de stockage ou de distribution) à proximité.
Des sociétés de conseils, d’innovation et d’ingénierie, comme Ecofilae, peuvent vous accompagner dans ces démarches. Notre rôle est de vous accompagner sur les aspects règlementaires, technico-économiques et socio-environnementaux, tout en fédérant une communauté d’acteurs autour de ce projet commun.